Description
Poème rimé en alexandrins de 6 quatrains. J’ai un attrait particulier pour cet arbre, en bon marin d’eau douce, familier de bord de rivière et autres lieux humides. Sa silhouette chevelue est présente dans le Marais Poitevin, merveilleux endroit que j’ai assidument hanté. J’en avais donc planté un dans mon jardin, sous lequel je me suis délassé bien souvent, dont les cheveux m’ont bien souvent caressé le visage, le bruissement desquels accompagnait mes lectures. Je ne pouvais que lui dédier un texte, dont le quatrain d’envoi a deux versions différentes.
Le Saule Pleureur.
Que j’aime, auguste saule, ta ramure vénérable
Lorsque, penché sur l’onde, bruissent tes mots d’Amour.
Et le courant emporte ce murmure admirable
Cueilli dans le creuset d’une caresse de velours.
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