Avant dernier article de notre saga ! La Genèse d’une Oeuvre VI évoque les éléments ajoutés à la toile . Les notes, avec leur pont attitré selon leur place sur la portée, sont fixées avec un « scratch », en prévision du transport ( démontables donc! ). 

     Le chevalier blessé du poème est Dumnac ( Dumnacus ) fait en bois, avec pyrogravure et un peu de peinture pour les blessures…..Rouge comme il se doit!. Ce Dumnac était le chef des Andes, peuple gaulois local, qui a combattu les romains en son temps…Et qui trône sur le pont principal des Ponts de Cé qui, en outre, porte son nom. Fixé de la même manière que les notes sur la toile.

     Une légende attribue le nom de la ville à un épisode de la Guerre des Gaules : un romain était en train de graver sur un pont – sans doute celui-là – « Les ponts de César » lorsqu’un gaulois l’a interrompu mortellement en cours de travail, après que le graveur ait tracé Les Ponts de Cé…..

    Ci-dessus, en photo principale, le pont Dumnacus, d’après une photo de mon ami commanditaire, réalisé en huile sur cuir avec cale en lin et crayon. C’est un élément ajouté compte tenu de cette photo, ce pont étant aussi présent sur la note la plus importante. 

     Le corsage délacé du poème est une peinture sur du cuir couleur peau, d’une jeune femme dont le corsage est comme dans le poème!… Même modalité de fixation que notre guerrier.

     Il est aussi question de pétales de rose dans ce poème, et bien sûr de « C »!  J’en fourni – pétales séchées et « C » en cuir -que mon ami pourra – ou non – coller ou bon lui semblera! Une manière de s’approprier le tableau.

     Les cordes de la Viole ont été placées par couture d’un fil type fil de cuisine ( costaud! )

     Et enfin la signature : reprise du cuir pour les initiales qui sont collées, le reste étant peint en noir.

Voilà la fin de la présentation de l’oeuvre, au fil de sa Genèse. Le dernier opus sera publié à réception de la toile par mon ami, fin Octobre, début Novembre à priori….A Suivre