Genèse d'une Oeuvre VII

18 Novembre 2022

     Bonjour à vous . L’artiste met en scène la touche finale de l’oeuvre qui a été depuis envoyée à son commanditaire au Canada. Une cinquantaine d’heures de travail étalées sur environ un an – étant entendu que je prenais expressément mon temps –  

     L’envoi s’est fait toile démontée de son cadre et tous les éléments – notes, éléments de décor, signature, texte calligraphié….- dans le même emballage, sérieusement protégé lui-même par un autre carton.

    Il a été proposé à mon ami soit de remonter la toile sur un cadre, soit de la tendre sans cadre au mur. Il lui aussi été suggéré, en l’absence de cadre, de faire un entourage en tissus noir. Autre suggestion : placer une tige lourde – métal ou bois – en haut et en bas de la toile pour assurer l’accroche et la tension.

    Les éléments qu’il ajoutera sont ceux déjà évoqués – et qui se trouvent dans la chanson – comme les notes portant les ponts de la ville, Dumnacus en chevalier blessé, une belle avec son corsage délacé mais aussi la signature de l’auteur – avec le C en grand en référence à la chanson – , des pétales de rose et des petits C de cuir à disposer – ou non – comme bon semblera à mon ami.

     Vous trouverez la toile dans la photo ci-dessous et les éléments cités dans la galerie qui suit.

     En accompagnement de la toile, le texte de la chanson a été calligraphié et justifié de sorte à être couvert par la silhouette du château imprimée sur un calque collé sur la feuille de calligraphie, mais seulement sur un côté : le calque laisse l’écriture visible, à laquelle on a accès en soulevant celui-ci. J’utilise parfois ce procédé pour illustrer mes poèmes.

      Bien à vous tous

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